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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

celle-ci, 264. — Dissimule ses relations avec Esterhazy, 264-265. — Fait l’intérim du bureau pendant l’absence de Picquart, 266. — Se fait envoyer à Bâle avec Lauth, 271-272. — Son entrevue avec Cuers, 273-274 ; 74, note 1. — Relate à Picquart les résultats de l’entrevue, 275-277. — Son rôle d’après Cuers, 278-280. — Informe Esterhazy de cette entrevue, 283-284. — Part en congé, 286. — Rentre de congé, 362. — Inspire l’article de l’Éclair intitulé « le Traître », révélant l’existence des pièces secrètes, 348-354 ; 365. 369-370. — Est soupçonné par Boisdeffre d’être l’auteur de cette révélation, 371. — A chargé Guénée de surveiller Picquart, 373. — Cherche à égarer l’enquête de Picquart sur l’auteur de l’article, 374. — Falsifie une lettre de Schwarzkoppen à Panizzardi puis la remet à Gonse, 388-389. — Insinue que Picquart veut substituer Esterhazy à Dreyfus, 396. — Nouvelles intrigues avec Lauth et Gribelin, 397. — Son entretien avec Gonse au sujet de Picquart, 398. — Veut détourner Picquart de l’enquête sur Esterhazy, 400-401. — Documente Castelin en vue de son interpellation, 401-402 — Engage Gonse à retirer le dossier secret à Picquart, 403-405. — Reçoit de Guénée une note confidentielle incriminant Picquart, 406. — Communique cette note à Gonse, 407. — Reçoit de la Bastian des fragments d’une lettre de Panizzardi à Schwarzkoppen, 410. — Retire du dossier secret une autre lettre de Panizzardi, 411. — Forge deux faux avec l’aide de Lemercier-Picard, 412 ; texte de ces deux faux, 413-414. — Erreur matérielle commise dans leur établissement, 415-416. — Détruit les originaux dont il a fait usage, 418. — Porte à Gonse la fausse lettre de Panizzardi, 418. — Lui conseille de ne pas la montrer à Picquart, 420. — Raconte à Lauth sa prétendue découverte, 421. — Remet à Gonse le second faux, 422. — Se serait rencontré avec Esterhazy dans une maison de la rue du Rocher, 437. — Aurait averti Weil, par une lettre anonyme, que Castelin le dénoncerait à la tribune comme le complice de Dreyfus, 440-441. — Dénonce Picquart à Gonse comme l’auteur des indiscrétions commises au sujet de l’Affaire, 441-442. — Remise que lui fait Picquart du petit bleu, 445-446. — Décachète le courrier de Picquart, 456 ; ouvre une lettre de Germain Ducasse, 457. — S’en sert pour constituer le faux Speranza, 458. — Classe la lettre et le faux, avec deux rapports de Guénée, dans le dossier de Picquart, 459. — Ses manœuvres pour faire imputer à Picquart la publication du bordereau dans le Matin, 460. — Opère le grattage du petit bleu, 461-462. — Le remet à Gonse, 463. — Néglige de détruire les clichés qui en ont été pris par ordre de Picquart, 463-464. — Met, avec une fausse date, une notice nécrologique sur le marquis de Nettancourt dans le dossier Esterhazy, 465-466. — Envoie Lauth et Junck s’aboucher à Luxembourg avec Cuers, 466. — Mort suspecte du turco Baschir, 467. — Ses lettres à Picquart, 469-472. — Sollicité par Esterhazy qui désire entrer au ministère de la Guerre, 479. — Sa duplicité, 480. — Est violemment attaqué par Esterhazy qui le déclare son débiteur, 481-482. — Ses inquiétudes, 487. — Articles de l’Intransigeant et de la Libre Parole contre lui, 488-489. — Se réconcilie avec Esterhazy, 490. — Reçoit de Picquart une note où celui-ci le prie de faire connaître qu’il a été relevé de ses fonctions, 514-515. — Montre à Gonse sa réponse, où il accuse Picquart d’indiscrétions commises en 1896 à la Section de statistique, 518-519. — Protestation de Picquart, 519. — Informe Ester-