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INDEX GÉNÉRAL

539 et note 1. — Interpellé à la Chambre sur les réquisitions de Manau à la Cour de cassation et sur l’exécution de l’arrêt annulant le procès de 1894 ; ses déclarations (séance du 2 avril 1898) 554-555. — Séance du 14 juin 1898 à la Chambre : interpellation sur la politique générale du gouvernement ; vote de la motion Ricard et Bourgeois ; sa démission, 629-630. — Son attitude pendant l’interpellation Castelin (séance du 7 juillet 1898), IV, 20. — S’abstient dans le vote de l’affichage du discours de Cavaignac, 30. — Reconnaît la nécessité de la revision après les aveux d’Henry, 224 et note 3. — Son intervention à la suite de l’interpellation J.-L. Breton sur le dossier ultra-secret (séance du 20 janvier 1899), 513, note 2. — Son attitude à la mort de Félix Faure, 555. — Candidat à la présidence de la République, se retire devant Loubet, 557-558. — Vote pour Loubet, 565. — Obtient 279 voix contre 483 à Loubet, 566. — S’abstient dans le vote de confiance au cabinet Dupuy (séance du 5 juin 1899), V, 130, note 3. — Vote contre l’affichage de l’arrêt de la Cour de cassation annulant le jugement de 1894, 134, note 2. — Son opposition au cabinet Waldeck-Rousseau, 178. — Vote contre l’ordre du jour de confiance (séance du 26 juin 1899), 193, note 2. — Réclame la convocation immédiate des Chambres après le procès de Rennes, VI, 28. — Son interpellation sur les conséquences politiques de l’Affaire (séance du 16 novembre 1899), 48 et note 1. — Son discours sur l’amnistie ; violentes interruptions des socialistes, 143-144. — Vote contre la loi sur les associations, 177, note 1. — S’abstient dans le vote relatif à l’installation des bustes de Trarieux et de Scheurer-Kestner dans la galerie du Sénat, 478.

Melliet (Léo), député. Vote l’ordre du jour de confiance au cabinet Waldeck-Rousseau (séance du 26 juin 1899), V, 193, note 2.

Menard (Joseph), avocat. Assiste Du Paty à l’instruction Tavernier, V, 239.

Ménard (Louis), greffier en chef de la Cour de cassation. Son attitude à l’égard de Picquart, IV, 397. — Racontars qu’il propage sur Bard et sur Picquart, 399. — Ses communications à la Libre Parole, 457. — Dénonce à Quesnay de Beaurepaire le parti pris de la Chambre criminelle, 433. — Sa déposition à la première enquête Mazeau, 489 ; à la seconde enquête, 507.

Ménétrier, agent principal au Cherche-Midi. Son attitude à l’égard de Dreyfus, I, 449-450.

Menier (Albert), industriel. Assiste à la dégradation de Dreyfus ; son impression, I, 508, note 2.

Mensier (Henry), général. Son rapport au Conseil de l’Ordre de la Légion d’Honneur sur la décoration de Dreyfus, VI, 500-501.

Menu. Sa déposition devant la Haute-Cour, V, 262, note 1.

Mercier (Auguste), général. Ministre de la Guerre le 3 décembre 1893 ; sa carrière, I, 1. — Impression produite dans l’armée par son entrée au ministère, 2. — Ses débuts à la tribune ; interpellation Lockroy sur l’état de la marine (séance du 1er février 1894), 3-4. — Défend un projet de loi tendant à rattacher les pontonniers au génie, 5. — Conserve son portefeuille après la chute de Casimir-Perier (ministère Dupuy, mai 1894), 5. — l’affaire Turpin, 6-9. — Le « flair d’artilleur », 8. — Prend la défense