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INDEX GÉNÉRAL

en duel, 12. — Renseigne Bertulus sur l’identité de la « dame voilée », 520. — La photographie de Carlsruhe, 609, appendice, 651. — Répète à Esterhazy le mot de Faure : « Ce ne sont pas quinze cents gredins qui feront marcher la France », 618. — Demande à Monnier des explications sur le rôle de sa femme dans l’Affaire, 619 et note 1, 620. — Rapporte ces explications à Esterhazy, 620 et note 1. — Démarche menaçante d’Esterhazy auprès de lui, à l’annonce de l’enquête de Cavaignac sur l’Affaire, IV, 11. — Rend compte de cette démarche à Boisdeffre, 12. — Esterhazy, déféré à un conseil d’enquête, change d’attitude à son égard, 35. — Sa déposition à l’instruction Fabre, 110. — Confronté avec Picquart, 111. — Sa première déposition devant le conseil d’enquête, 170-171. — Sa seconde déposition, 179. — Sa lettre de démission au ministre de la Guerre après les aveux d’Henry, 205. — Sa mise en disponibilité réclamée par Brisson, 218. — Sa démission n’est pas transmise à Cavaignac, 225 et note 2. — Son entretien avec Zurlinden ; article de Maizière dans le Gaulois, 226 et note 6. — Retire sa démission ; sa lettre à Paul Meyer, 233-234. — Assiste au procès Picquart-Leblois devant la huitième chambre, 285. — Bruits d’un complot militaire auquel il serait mêlé, 311 et note 1 ; 312. — Aurait promis son concours à Déroulède en vue d’un coup de force ; ses hésitations, 575-577 et note 1 ; 591, note 4 ; 592. — Sa conduite lors des obsèques de Félix Faure ; obtient de Zurlinden l’autorisation de disloquer ses troupes avant d’arriver place de la Nation, 594 et note 3. — Opinion de Zurlinden sur la part qu’il aurait prise à la tentative de Déroulède, 595, note 2. — Réclame une enquête sur ses actes d’officier de police judiciaire, V, 120 et note 2. — Cette enquête, ordonnée par Dupuy, est confiée au général Duchesne, 120, 145, 238. — Envoyé en disgrâce à Quimper, 238. — Sa lettre à De Mun ; affirme n’avoir jamais été en relations avec le P. du Lac, VI, 229. — Sa mort, 229, note 3. — Incidents provoqués à la Chambre par la lecture de sa lettre de démission (séance du 6 avril 1903), 234-241.

Pelloux, général. Ministre de la Guerre italien ; déclare qu’Esterhazy est l’auteur de la trahison reprochée à Dreyfus, III, 50 et note 2. — Confirme à Joseph Reinach l’authenticité du texte de la dépêche du 2 novembre 1894 produit devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), VI, 226.

Penot. Ses racontars au sujet d’une prétendue tentative de corruption dont Sandherr aurait été l’objet de la part de la famille Dreyfus, III, 163.

Percin (Alexandre), général. Chef de cabinet d’André, VI, 345, 361. — Ses relations avec Vadecard ; son entretien avec Waldeck-Rousseau, 399 et note 5 ; 403 et note 3. — Ses confidences à Clemenceau et à Picquart, 400.

Perier (Antoine), député. Membre de la commission de l’armée ; intervient dans la discussion d’une proposition de blâme contre Joseph Reinach, III, 327, note 5.

Périllier (Jules), député. Apostrophe Lebret lors de la lecture du projet de dessaisissement (séance du 30 janvier 1899), IV, 533 et note 1.

Périvier (Antonin), co-gérant avec Rodays puis directeur du « Figaro ». Son opinion sur la