Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/207

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
199
INDEX GÉNÉRAL

voix lors du vote pour le remplacement de Loubet à la présidence du Sénat (mars 1899), 23, note 1.

Philippe, lieutenant. Lebrun-Renaud lui fait le récit des prétendus aveux de Dreyfus, I, 515, et note 3.

Picard (Ernest), capitaine. Empêché par le général Bonnefond d’entrer à l’État-Major, I, 120. — Apprend de Freystætter la communication secrète ; en fait part à Léon Lévy, II, 176.

Picard (Jean), employé de commerce. Identifie Lemercier-Picard avec Leeman, III, 506, note 1.

Picard (le Père), supérieur général des Assomptionnistes. Son rôle dans la campagne antisémite et dans les élections de 1898.III, 573-577.

Pichot (Abbé). Auteur de deux brochures en faveur de Dreyfus : la Conscience chrétienne et la question juive ; la Conscience chrétienne et l’Affaire Dreyfus, IV, 271, note 2, ; 421 ; V, 52-53, note 1. — Renvoyé du collège libre de Felletin, est nommé par le prince de Monaco à l’une des cures de la principauté, IV, 421.

Pichot (Pierre-Amédée), rédacteur de la « Revue britannique ». A entendu dire à la princesse Mathilde qu’elle connaissait par Boisdeffre l’existence des lettres de l’Empereur allemand, V, 328, note 8.

Picot (Émile), membre de l’Institut. Signe la protestation en faveur de Picquart, IV, 390, note 2. — Sa déposition au procès de Rennes au sujet d’un entretien qu’il a eu en mai 1899 avec le colonel Schneider, I, 293, note 2 ; II, 244, note 1 ; V, 447.

Picot (Georges), secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences morales et politiques. Un article de lui, sur l’illégalité de la perquisition opérée chez Picquart, est refusé par les Débats, III, 96.

Picquart (Georges), commandant. Ses origines, sa famille, son caractère, II, 203-204. — Ses opinions antisémites, 208-209. — Sa carrière, 204-205. — Professeur à l’École de guerre : Boisdeffre lui propose de remplacer Sandherr à l’État-major : son refus, 203, 207. — Sous-chef au troisième bureau du ministère de la Guerre, 207. — Place Dreyfus à la section des manœuvres, I, 71. — Chargé de recueillir des spécimens de l’écriture de Dreyfus ; ne croit pas celui-ci l’auteur du bordereau, 66. — Fait part de ses doutes à Gonse, 76. — Introduit Dreyfus dans le cabinet de Boisdeffre, 108. — Mis par Du Paty au courant de l’enquête, 140. — A l’impression que l’enquête n’avance pas, 187. — Apprend de Du Paty la découverte de pièces accablantes pour Dreyfus, 276. — Prévenu que certaines pièces seront communiquées aux juges à l’insu de la défense, 277. — Son interprétation du mémento de Schwarzkoppen, 352-353. — Assiste au huis clos du procès de 1894 ; rend compte des audiences à Mercier, à Boisdeffre et à Casimir-Perier, 399, 412. — Son impression sur Dreyfus, 401, note 1 ; sur les dépositions des témoins à charge, 403 et note 3 ; sur les déclarations du Du Paty, 408. — Croit que le dossier renferme des preuves irrécusables de la culpabilité de Dreyfus, 411-412. — Prévoit l’acquittement ; avertit Mercier et Boisdeffre, 416. — Refuse de transmettre à Gallet une communication d’Henry, 417. — Son impression sur la déposition d’Henry, 420 ; sur celle de Bertillon, 427 ; sur le réquisitoire