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INDEX GÉNÉRAL

Sandherr, puis huissier au bureau des Renseignements. Aurait souvent vu Esterhazy chez Henry, II, 467. — Sa mort suspecte, I, 187, note 2 ; II, 467.

Basset (Serge), dit Paul Ribon, journaliste. Va trouver Esterhazy à Londres, apprend de lui qu’il est l’auteur du bordereau, V, 102-103. — Cité par la défense au procès de Rennes, 234. — Ses articles dans le Matin sur le procès, 269, note 2, 357. — Reçoit d’Esterhazy une dépêche lui demandant l’adresse de Roget, 449, note 3. — Sa déposition, 31, 273, note 1 ; 497. — Esterhazy lui déclare avoir été un agent du contre-espionnage, II, 111, note 1.

Bastard d’Estang. Perquisitions à son domicile (avril 1899), V, 6, note 1.

Bastian (Mme), agent du service des Renseignements. Placée comme domestique à l’ambassade d’Allemagne, ramasse dans les corbeilles à papier et les cheminées des fragments de lettres qu’elle remet au bureau des Renseignements, I, 24-27. — Apporte un brouillon de Schwarzkoppen, 34, II, 89. — Part qu’elle aurait eue dans l’affaire du bordereau, I, 40 42 ; II, 112-113 ; IV, 195-196. — Le bordereau n’a pu être ramassé dans une corbeille, I, 45, 46, note 2. — Illettrée, elle ramasse tout sans lire, 48. — Livre deux fois par mois son butin, 72. — Système d’après lequel elle aurait ramassé à l’automne le bordereau qui serait du printemps, 73, III, 431. — Après l’arrestation de Dreyfus, remet à Henry une lettre de Schwarzkoppen, I, 290 ; lui remet le brouillon d’une autre lettre du même en 1895, II, 220. — Livre à Henry les cornets dans des endroits isolés. 228 ; leurs rendez-vous dans l’église Sainte-Clotilde, 229 ; III, 495. — Porte à Henry, en mars 1896, le cornet où se trouve le petit bleu, II, 239. — Selon Henry, elle aurait été soupçonnée à l’ambassade dès le procès de 1894, 255, note 5 ; n’a en réalité jamais été suspectée, 264. — Lettre de Panizzardi à Schwarzkoppen trouvée dans les cornets, 410. — Mercier refuse de révéler son nom à la Chambre criminelle, IV, 365. — Disparaît de l’ambassade d’Allemagne à la veille du procès de Rennes, V, 241. — Visite qu’elle avait reçue d’un journaliste, ancien agent de la sûreté, 242. — Conduite à Marly par l’agent Desvernine sur l’ordre du bureau des Renseignements, 243-244 ; séjourne à Marly sous un faux nom et est recherchée par la police, 245. — Aurait été, d’après Drumont, dénoncée à Munster par les revisionnistes, 245. — Le bruit court que Mercier la signalera comme ayant dénoncé Dreyfus avant la découverte du bordereau, 306, note 4. — Argent que lui aurait remis Mareschal à Marly, 468, VI, 379. — Enquête faite sur elle par Joseph Reinach, 98. — A ramassé la pièce dite du « télémètre » en même temps que la lettre de Panizzardi sur l’organisation des chemins de fer, 256-257. — Correspondance galante de Schwarzkoppen détournée par elle à l’ambassade, 306. — Son interrogatoire au cours de l’enquête ouverte par la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), 348. — Se plaint de l’attitude de Mercier à son égard, 349. — Pensionnée par Mme Roger-Jourdain, à qui elle confie des lettres d’Henry, 349, note 1. — Récit de Puybaraud et dépositions de Sardou et de Joseph Reinach sur son rôle dans l’affaire du bordereau, 350-351.

Bastid (Adrien). Témoin de Joseph Reinach dans son duel