Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/228

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
220
HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

tre Dreyfus, 245 et note 1. — Sa lettre à la marquise Arconati-Visconti, V, 52 et note 2. — Ses entretiens avec Joseph Reinach, VI, 347.

Reveillaud (Eugène), député. Déclare que le conseil de l’Ordre du Grand-Orient est étranger au système des fiches, VI, 407. — Son ordre du jour rendant hommage aux artisans de la revision (séance du 13 juillet 1906), 496.

Reverseaux (Marquis de), ambassadeur de France à Vienne. Confidences que lui fait l’empereur d’Autriche au sujet de Dreyfus, III, 54, note 2.

Reville (Albert), professeur au collège de France. Sa propagande en faveur de la revision, « Les étapes d’un intellectuel », IV, 150 et note 1.

Revue des Deux Mondes. Voir Charmes (Francis), Brunetière.

Reynaud, conseiller à la Cour de cassation, V, 575. — Passe pour hostile à la revision, 26.

Rey-Roize (Baron). Propos qu’aurait tenu chez lui Stoffel au sujet du bordereau annoté, VI, 208. — Sa déposition à la Cour de Cassation (revision du procès de Rennes), 208, note 3 ; 324 ; 325, note 2.

Ribon (Paul). Voir Serge Basset

Ribot (Alexandre), député. Constitue le premier ministère de la présidence de Félix Faure (janvier 1895), I, 560. — Attaques dont il est l’objet, 561. — Ses doutes sur la culpabilité de Dreyfus, II, 129, note 2. — Décline la mission de constituer un cabinet, à la chute de Méline, III, 631, note 3 ; 632. — Mêlé aux négociations politiques qui suivent la chute de Brisson, IV, 351-355. — Intervient dans les interpellations sur l’ajournement du procès Picquart (séance du 28 novembre 1898), 407. — Se déclare opposé au dessaisissement, 542. — S’abstient dans le vote de confiance au cabinet Dupuy (séance du 5 juin 1899, V, 130. — Son discours contre la mise en accusation de Mercier, 131-132. — S’abstient dans le vote qui provoque la chute de Dupuy (séance du 13 juin 1899), 155 et note 2. — Part qu’il prend dans les négociations pour constituer un cabinet après la chute de Dupuy, 159-160. — S’abstient dans l’ordre du jour de confiance au cabinet Waldeck-Rousseau, 193, note 2 ; VI, 50, note 1. — Son discours sur la politique de Waldeck-Rousseau (séance du 22 mai 1900), 112-114. — Vote contre la loi sur les associations, 177, note 1. — Son discours sur l’attitude des socialistes dans l’Affaire ; réplique de Jaurès (séance du 18 mars 1903), 230-231. — S’oppose à l’enquête administrative réclamée par André, 243-245. — Son intervention à la séance du 4 novembre 1904, 418-419.

Ricard (Henri), député de la Côte-d’Or. Dépose une motion qui amène la chute de Méline (séance du 14 juin 1898), III, 629.

Ricard (Louis), député de la Seine-Inférieure. Ministre de la Justice dans le cabinet Bourgeois (novembre 1895), II, 181, note 3.

Richard (Benjamin), cardinal, archevêque de Paris. Sollicité par Lemercier-Picard, III, 495. — Reçu par Félix Faure quelques instants avant sa mort, IV, 547 et note 1. — Sa démarche auprès de Waldeck-Rousseau en faveur des défenseurs du « fort Chabrol », V, 426.