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INDEX GÉNÉRAL

l’amnistie, 19 et note 3, 21. — Ajournement de ses procès en prévision de l’amnistie, 51-52. — Demande à être entendu par la commission d’amnistie, 83. — Son audition, 83-84. — Sa lettre au Sénat (31 mai 1900), 123 ; à Loubet, 157. — Sa sympathie pour Dreyfus, 105 et note 2. — Abandonne son procès contre les experts, 177. — Sa mort tragique, 197-198. — Ses obsèques ; discours d’Anatole France, 199. — Les Chambres votent le transfert de ses cendres au Panthéon, 496 et note 5.

Zurlinden, général. Ministre de la guerre en remplacement de Mercier (janvier 1895), I, 561. — Influence exercée sur lui par Boisdeffre, II, 201. — Recommande à Picquart de surveiller D’Orval, 224. — Nommé gouverneur de Paris ; juge excessive la mise en réforme de Picquart, III, 372. — Transmet à Cavaignac le dossier du conseil d’enquête sur Esterhazy, plaide l’indulgence en faveur de celui-ci, IV, 180. — Apprend le suicide d’Henry, avertit Brisson, 216. — Ne transmet pas à Cavaignac la lettre de démission de Pellieux. 225 et note 2. — Son entretien avec Pellieux ; article du Gaulois. 226 et note 7. — Désigne Saussier à Félix Faure pour remplacer Cavaignac au ministère de la Guerre, 240. — Accepte, en septembre 1898, le portefeuille de la Guerre, à la condition d’examiner lui-même le dossier Dreyfus avant de le transmettre au garde des sceaux, 241. — Ses états de service, sa mentalité, son attitude à l’égard des revisionnistes, 240. — Donne au général Borius l’intérim du gouvernement de Paris, 243, note 1. — Maintient Roget et Cuignet à leurs postes ; se fait renseigner par eux sur l’Affaire, 245. — Fait interroger Du Paty par Renouard ; reçoit la visite de Cavaignac, 245. — Découvre le grattage du Petit Bleu : récit de Roget à ce sujet, 245-248. — Cuignet lui remet la déposition du capitaine Tassin sur un propos tenu par Picquart après la dégradation, 248. — Attaques de Drumont et de Rochefort contre lui, 249, note 2 ; il devient hostile à la revision, 249-250. — Résultats de l’enquête Renouard, 255. — Transmet à Sarrien son avis « motivé et définitif » sur Dreyfus, 256. — Sarrien lui réclame le dossier secret : il répond qu’il n’y a pas trace, au ministère, de la communication de ce dossier, 256-257. — Conseil des ministres du 12 septembre 1898 : la mise en disponibilité de Du Paty ; conflit entre Brisson et lui ; il s’oppose à la revision et menace de démissionner, 258-260. — Sa note à Sarrien : exposé de l’Affaire, accusations contre Picquart, 264 et note 4. — Conseil des ministres du 17 septembre : il demande l’autorisation d’informer contre Picquart ; refus de Brisson ; sa démission, 268-269. — Il affirme dans sa lettre de démission la culpabilité de Dreyfus, 269. — Remplacé au ministère de la guerre par Chanoine, son entretien avec Chanoine au sujet de Picquart, 276. — Nommé gouverneur de Paris, 277. — Signe le mandat d’informer contre Picquart, 279. — Ses visites à Chanoine et à Brisson, 279 et note 3, 280. — Fait mettre Picquart au secret, 287. — Le vote du Conseil des ministres blâmant son attitude dans ces incidents lui est transmis par Chanoine, 293 et note 3. — Sa déposition devant la chambre criminelle (revision du procès de 1894) : la communication secrète, le bordereau, 369. — Refuse de lever la mise au secret de Picquart, 382. — Conversation avec Freycinet : il convoque le conseil de guerre chargé de juger Picquart pour le 12 décembre et désigne les juges, 387 et note 5. — Ses instructions au capitaine Herqué chargé d’amener Picquart au
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