Page 291, ligne 14. — Après : (4), ajouter : Un peu plus tard, le colonel Guérin fut invité à consigner par écrit ses souvenirs sur la journée de la dégradation, notamment sa conversation avec Lebrun-Renaud et D’Attel. — En note : 14 février 1898.
Page 305, av.-dernière ligne. — Au lieu de : menlaliet, lire : mentalité.
Page 313, ligne 4. — Au lieu de : de la loi, lire : la loi.
Page 318, ligne 6. — Au lieu de : Reischtag, lire ; Reichstag.
Page 326, note 1. — Ajouter : Galliffet avait conseillé à Picquart de réclamer sa comparution devant un conseil de guerre et lui avait proposé de présenter sa défense.
Page 334, numéro de la page. — Au lieu de : 34, lire : 334.
Page 374, ligne 3. — Au lieu de : pértexe, lire : prétexte.
Page 382, ligne 6. — Après : ressortant, ajouter : (sic).
Page 387, note 1, ligne 3. — Après : absolue, ajouter : Il interrogea les différents ministres de la Guerre ; après les avoir entendus, aucun doute ne subsista plus dans son esprit. — Ligne 5. — Après : Guiard, ajouter : (Lettre de Monod à Jaurès, Petite République du 4 juillet 1899) et convint lui-même, à la veille du procès de Rennes, qu’il avait été troublé (Patrie et Libre Parole du 6 juillet 1899. — Voir t. V, 259).
Page 396, av.-dernière ligne. — Au lieu de : Cependant, lire : Pourtant.
Page 461, ligne 7. — Au lieu de : Celmenceau, lire : Clemenceau.
Page 515, note 5. — Au lieu de : Bergouignan, lire : Bergougnan.
Page 539, note 1, ligne 4. — Après : Lebon, ajouter : Quand l’incident fut connu, peu avant le procès de Ren-