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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

fondu par Guénée avec Alfred Dreyfus, I, 260, note 5.

Dreyfus (Maxime), membre du Cercle franco-américain. Confondu par Guénée avec Alfred Dreyfus, I, 260, note 5.

Dreyfus (Moïse), directeur des moulins de Corbeil. Mis en cause par Castelin dans son interpellation (séance du 18 novembre 1896), II, 450 et note 3.

Dreyfus (Paul), membre du Cercle franco-américain. Confondu par Guénée avec Alfred Dreyfus, I, 260, note 5.

Dreyfus-Gonzalès (Mme). Le P. du Lac la prie de lui ménager une entrevue avec Joseph Reinach, V, 146 et note 2.

Dreyfuss, grand rabbin de Paris. Aurait, selon Guénée, engagé Mme Hadamard à convenir de la passion de Dreyfus pour le jeu, I, 262. — Dément cette assertion au procès de 1894, 429 et note 1.

Dron (Gustave), député du Nord. Son interpellation sur la politique du Gouvernement (séance du 12 mars 1898), III, 568, note 2, 569.

Druet (Louis). Aurait entendu des officiers s’entretenir des prétendus aveux de Dreyfus, I, 518, note 8.

Drumont (Édouard), rédacteur en chef de la « Libre Parole ». Défend Turpin contre Mercier, I, 12 ; ses attaques contre Casimir-Perier, sa fuite en Belgique, 135. — Son article : Les Juifs dans l’armée, 203. — Ses débuts, la campagne antisémite, 216-217 ; préconise le massacre des Juifs en cas de guerre, 230-232. — Accuse Mercier de vouloir étouffer l’affaire Dreyfus, 237-239 ; suspend ses attaques en apprenant que Mercier consent à communiquer aux juges le dossier secret, 274-275 ; 343-345. — Prétend que le huis-clos est imposé par Hanotaux, puis admet la publicité des débats, 373. — Manifeste sa joie après la condamnation, 468-469. — Impute à une intervention de l’Allemagne l’assimilation de la prétendue trahison de Dreyfus à un crime politique, 473. — Regrette la chute de Mercier, 561. — Origine de ses relations avec Esterhazy, 52 ; son duel avec Crémieu-Foa, I, 217-218 ; II, 53-55 ; son rôle dans l’affaire Mayer-Morès, 56-61. — Cherche à faire le silence sur Dreyfus, 165. — Ses attaques contre Zola, 194-195 ; son duel avec Bernard Lazare, 196. — Sa campagne contre Félix Faure, 190-199 ; l’affaire Boulot, 236. — Commente la prétendue évasion de Dreyfus, 307-308 ; ses inventions sur la vie de Dreyfus à l’île du Diable, 330. — Desvernine trouve deux cartes de lui chez Esterhazy, 384-385. — Ses articles contre le « Syndicat », 437 ; ses relations avec Castelin, 446. — Mène campagne contre Billot à l’instigation d’Esterhazy, 485. — Invite Scheurer-Kestner à produire les preuves de l’innocence de Dreyfus, 619-620 ; ses attaques contre lui 632. — Insère, sur la demande d’Esterhazy, l’article signé « Dixi », 683. — Reproche à Boisdeffre son manque d’énergie, III, 2 ; se réconcilie avec Cavaignac qu’il avait autrefois malmené, 32. — Diffame Forzinetti à propos du récit de la captivité de Dreyfus au Cherche-Midi, 39. — Se défend d’être des amis d’Esterhazy, 40. — Ses racontars sur Scheurer-Kestner et sur Billot, 65. — Attribue à l’intervention de Joseph Reinach la nomination de Picquart au service des Renseignements, 82. — Son opinion sur les lettres à Mme de Boulancy, 120, note 2. — Publie la lettre d’Esterhazy à De Pellieux, 132. — Demande des pour-