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Page:La Motte-Fouqué - Ondine, Hachette, 1913.djvu/17

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TABLE DES GRAVURES


pages
L’espiègle Ondine
Derrière la presqu’île s’étendait une sombre forêt, repaire d’esprits malins et pervers
Tout à coup, par la porte ouverte entra une jolie petite fille, richement habillée, toute gracieuse et souriante
L’enfance d’Ondine
Soudain, comme la lune se montrait entre deux nuages, Huldbrand aperçut Ondine au milieu d’un petit îlot ombragé de grands arbres
Ondine enlace de ses bras blancs le cou du chevalier et l’oblige à s’asseoir à ses côtés
L’affreux petit personnage me montra la pièce de monnaie en glapissant : « Mauvais or ! fausse monnaie ! fausse monnaie ! »
Les nains me désignaient de leurs doigts crochus
Ondine cria d’une façon menaçante et à la fois comique : « Toi, là-haut, tâche de ne pas nous mouiller ! »
« Ma chère petite nièce, répondit Kühleborn, vous savez bien que je suis ici pour vous protéger »
La belle Bertalda