Page:Mirecourt - George Sand.djvu/38

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nir le voir à la Vallée-aux-Loups, où il habitait à côté de M. de Châteaubriand. Il reçut le jeune couple avec bonté.

Quand Aurore parla de ses tabatières, il se récria.

— Mais, dit-il à Sandeau, pourquoi ne faites-vous pas du journalisme ? Cela est moins difficile que vous ne le pensez. Soyez un de nos rédacteurs.

— Hélas ! je suis bien paresseux pour écrire ! murmura naïvement le jeune homme.

— Bon ! moi je l’aiderai ! dit Aurore en souriant.

— À merveille ! s’écria Latouche. Travaillez, et apportez-moi le plus tôt possible vos articles.

Dès ce jour, madame Dudevant laissa le