Page:Paris ou le livre des 101, tome 14, 1831.djvu/51

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« Qu’est-ce qui enviera à la France son repos, et au Royce triomphe, d’avoir esteint un grand brandon de sédition ?

« Finissant donc cette triste et cruelle guerre (des partis), reluyra une très-joyeuse et très-aimable paix, qu’à bon droict j’appelleray une précieuse et sacrée conquête, laquelle rendra Sa Majesté très-redoutable à l’Europe, qui saura bienviste la grandeur de puissance quele Roy aura remis sous sa main, en appaisant les factions. »


Par cette harangue, lecteur français, apprends à connaître ce que doit être un véritable chancelier ; et quel grand homme ce fut que Michel L’Hospital !

DUPIN aîné.