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Page:Pensées de Marc-Aurèle, trad. Barthélemy-Saint-Hilaire.djvu/499

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TABLE DES MATIÈRES.
3 ; — la seule fois que Marc-Aurèle en parle ; reproche et éloge qu’il leur adresse, XI, 3, N.
Christ, ressemblance de son Sermon sur la montagne avec la philosophie stoïcienne de Marc-Aurèle, qui exprime sous une autre forme les mêmes conseils et la même pensée, II, 1, N. ; — (le), dans le Sermon sur la montagne, exprime une même pensée que Marc-Aurèle, III, 6, N. ; — (le) s’exprime dans le sens de Marc-Aurèle sur la bonté, XI, 18, N.
Christianisme, une de ses recommandations les plus saintes et les plus pratiques est aussi celle de Marc-Aurèle, VII, 69, N. ; — (le), et surtout saint Augustin, ont approfondi la question la plus ardue que la morale et la théologie puissent se poser, et que le Stoïcisme a soulevée, IX, 40, N.
Chryse et Gaëte, villes d’Italie, I, 17, N.
Chrysippe, sa pensée conservée d’une manière plus complète, par Plutarque, citée, VI, 42, N. ; — le nombre des Chrysippes n’est peut-être jamais aussi grand dans le monde que Marc-Aurèle semble le croire, VII, 19, N.
Cicéron, son « Caritas generis humani » sous une autre forme, II, 13, N. ; — son mot sur la bienveillance que les hommes se doivent entre eux, XI, 18, N.
Citadelle d’une âme libre de passions ; ce qui la compose, VIII, 48.
Cité (la), comparéeàk l’univers, II, 16 ; — (de la) commune, nous viennent, et l’intelligence elle-même, et la raison, et la loi qui nous régit, IV, 4 ; — (bien-aimée) de Cécrops ! exclamation d’un poëte, citée par Marc-Aurèle, IV, 23 ; — (la) du monde, dont l’homme fait partie, IV, 29, N. ; — (la) est une patrie, choisie par nous ; le monde est la cité de l’homme, VI, 44 ; — des Dieux et des hommes, doctrine exclusivement propre au Stoïcisme, X, 1, N. ; — (il n’y a point de mal pour la), si la loi n’est pas violée, X, 33 ; — (être renvoyé de la) par la nature même, qui t’y avait fait entrer, n’est pas chose inique, XII, 36 ; — (la grande), définition de ce mot, XII, 36, N.
Cithéron, allusion de Marc-Aurèle à l’Œdipe-Roi de Sophocle, XI. 6, N.
Citoyen (le) de la cité suprême, III, 11 ; — (vie d’un), qui marque chaque pas de son existence par des actions utiles à ses concitoyens, X, 6 ; — (le véritable) ne souffre jamais, là où la cité ne souffre point, X, 33 ; — (dans la grande cité, il est indifférent d’être) pendant cinq années ou pendant trois, XII, 36.
Clotho, la première des trois Parques ; elle tient le fuseau et préside il la naissance des humains, IV, 34, N.
Cœur (mon) en a souri, vers cité de l’Odyssée, d’Homère, par Marc-Aurèle, XI, 31, N.
Coin de cette plage terrestre ; tout ce qui s’y passe n’est rien, VIII, 21.
Colère (la) est contre la raison, VII, 14 ; — dénote de la faiblesse, XI, 18 ; — et le chagrin des actions d’autrui, nous sont plus pénibles que les actions mêmes, XI, 18.
Colonne (la) Antonine, qu’on voit encore à Rome, a été élevée à