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TABLE DES MATIÈRES.
citées sur le mot Imagination, II, 15, N. ; — Pensées, citées sur l’inanité presque complète du temps accordé à l’homme ; sur la recherche de la renommée, III, 10, N. ; — son dédain de l’opinion commune, IV, 3, N. ; — Pensée de Marc-Aurèle, digne de lui, IV, 35, N. ; — Pensée de Marc-Aurèle, digne de lui, sur la totalité de l’être, V, 24, N. ; — Pensées, citées sur la recherche de la louange, et dont l’idée est la même que celle de Marc-Aurèle, VI, 18, N. ; — Pensées, citées sur la recherche de la gloire, VI, 59, N. ; — cité sur l’apparente contradiction de Marc-Aurèle, relativement à l’opinion des autres, XII, 4, N. ; — seul a retrouvé, depuis Marc-Aurèle, des accents aussi solennels sur l’abime du temps insondable et infini, XII, 32, N.
Passage de Marc-Aurèle, qui suffirait à prouver qu’il n’a pas toujours confondu Dieu et le monde, à l’imitation du Stoïcisme, V, 10, N. : — profondément altéré dans le texte, V, 36, N.
Passages de poëtes dramatiques, cités, XI, 6.
Passé (le) et l’avenir, nous ne saurions les perdre, II, 14.
Passions (les) pénétrant, par une sympathie dont la cause est ailleurs, jusqu’à la raison, il ne faut point s’efforcer de lutter contre un sentiment naturel, V, 26.
Patrie (une), une cité, choisie par Marc-Aurèle ; le monde est la patrie de l’homme, VI, 44.
Paul (saint), cité sur ce qui appartient en propre à l’homme, XII, 26, N.
Pausanias affirme à diverses reprises que les Athéniens sont le peuple le plus religieux de la Grèce ; cite une statue remarquable à Athènes ; semble indiquer que la prière des Athéniens avait lieu en faveur de la Grèce entière, V, 7, N.
Peines éprouvées par les hommes, et pour quelle raison, IX, 26.
Penchant qui fait commettre des fautes, XI, 18 ; — (le) de la pensée, qui dépend d’elle tout entier, XII, 30.
Pensée (la) ; ses opérations sont toutes en son pouvoir, VI, 32 ; — (une belle) de Platon, ne se retrouve plus dans les œuvres du philosophe ; le ton de cette pensée ne rappelle guère le style habituel de Platon, VII, 48, N. ; — qui ajoutera à notre tranquillité, VII, 75 ; — qui doit nous faire quitter plus volontiers la vie, X, 36 ; — (conformer sa) à celle de Dieu, XII, 23 ; — (la) tend, par sa nature propre, à s’unir à ce qui lui ressemble, XII, 30 ; — (la dernière) de Marc-Aurèle termine noblement son très-noble ouvrage, XII, 36, N.
Pensées (nos) et nos actions doivent être réglées par la réflexion, II, 14 ; — (Marc-Aurèle écrivit ses) vers l’an 178 ou 179 après J.-C., II, 17, N. ; — de Marc-Aurèle, qui ont la grandeur de Pascal, sans en avoir l’incurable tristesse, II, 17, N. ; — (emploi de nos) pendant le reste de notre vie, III, 4 ; — (les) et les actions inutiles sont à supprimer, IV, 24 ; — (nos) habituelles, ce qu’elles doivent être, V, 16 ; — (veiller sur nos) habituelles ; nécessité d’écarter de l’âme les pensées mauvaises, V, 16, N. ; — qui vont