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TABLE DES MATIÈRES.

Phédon, de Platon, cité sur la résignation de Socrate, VIII, 66, N. : — cité sur cette pensée : Ne plus rien sentir, VIII, 68, N. : — cité sur un des motifs qui consolent le plus sérieusement Socrate de sa mort, IX, 3, N. : — cité sur la doctrine du Spiritualisme, XI, 19, N.
Phèdre, de Platon, traduction de M. V. Cousin, citée, II, 13, N. ; — cité sur des superstitions effrayantes, dont se moque Socrate, XI, 23, N.
Phénomènes (nombre de) qui se passent dans notre corps et dans notre esprit, VI, 25, N.
Philippe, admiré par Marc-Aurèle, IX, 29 ; — cité par Marc-Aurèle comme personnage dramatique, IX, 29, N. ; — sa cour, X, 27.
Philistion, Phœbus, Origanion, noms inconnus et que Marc-Aurèle ne paraît pas tenir en grande estime, VI, 17, N.
Philosophe, cité par Marc-Aurèle, et qui parait être Démocrite, d’après différents passages de Stobée, IV, 24, N. ; — (le véritable), IV, 30 ; — (le), pour désigner Platon, qui a soutenu l’optimisme, dans le Protagoras, dans les Lois, et dans plusieurs autres dialogues, VII, 63, N. ; — (un des premiers devoirs du), vis-à-vis de lui-même d’abord, et ensuite vis-à-vis de ses semblables, X, 8, N. ; — son profond dédain pour tout ce qui est extérieur, XII, 2, N.
Philosophes (les) ; ustensiles dont se compose leur discipline, I, 6, et IV, 30, N. ; — ironie de Marc-Aurèle contre les philosophes ; elle n’est pas déplacée dans la bouche d’un philosophe, qui se comprend lui-même dans la critique qu’il fait des autres, IV, 48, N. ; — (bien des), et qui n’étaient pas des moins habiles, ont été d’avis que nous ne pouvions rien comprendre, ni de la matière, ni des mouvements des objets sensibles, V, 10 ; — indiqués d’une manière générale ; il s’agit évidemment des Sceptiques et des Pyrrhoniens, qui niaient la possibilité de la science, V, 10, N. ; — vénérables, orateurs éloquents, VI, 47 ; — spiritualistes ; question la plus ardue que la morale et la théologie puissent se poser ; la plupart d’entre eux l’ont négligée ou ignorée ; elle a été soulevée parle Stoïcisme, IX, 40, N.
Philosophie (la) stoïcienne de Marc-Aurèle exprime, sous une autre forme, la même pensée et les mêmes conseils que le Christ, dans le Sermon sur la montagne, II, 1, N. ; — et la religion, grande et éternelle question, qu’elles se posent tous les jours ; solution qu’elles en donnent, II, 12, N. ; — (la) seule peut nous servir de guide, durant notre vie et jusqu’à notre mort, II, 17 ; — (la), sauf le Stoïcisme et Sénèque, a généralement négligé la grande question de la naissance et de la mort, IV, 5, N. ; — tout ce qu’elle exige, c’est ce qu’exige la nature, V, 19 ; — (la), dans son appréciation sur le prix de la vie, donne les mains à la doctrine chrétienne et biblique, V, 23, N. ; — comparée à une mère, VI, 12 ; — (la) et la religion ; un des conseils les plus pratiques qu’elles peuvent donner à l’homme, VI, 19, N. ; — (influence de la) sur Marc-Aurèle ; reconnaissance profonde qu’il gardait à