Aller au contenu

Page:Régnier - La Cité des eaux, 15e éd.djvu/139

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


LA COURSE


Vous m’avez dit :
Laisse-les vivre
Là-bas…
Que t’importent leurs bonds ou leurs pas
Sur l’herbe de l’aurore ou l’herbe de midi,
M’avez-vous dit ?

C’est vrai. Ma maison est haute et belle sur la place.
C’est vrai que ma maison est haute et belle et vaste,
Faite de marbre avec un toit de tuiles d’or ;
J’y vis ; j’y dors ;