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LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS

Et la vie à jamais la même et j’ai pleuré
De ce que seul d’entre eux l’Amour ne fût entré,
Car la flûte, la faulx, la serpe et l’arrosoir
Sont tristes quelquefois à qui marche, le soir,
Silencieux et que la fontaine s’est tue,
Autour du buis taillé qui borde les laitues.