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Page:Régnier - Les Jeux rustiques et divins, 1897, 2e éd.djvu/208

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LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS

Grande Ombre ! et, vers la nuit, par la porte d’ébène,
Passe, et que l’âpre vent d’un souffle rauque éteigne
Au poing nu des porteurs qu’il courbe sous les porches,
La lueur des flambeaux et la flamme des torches.