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Page:Régnier - Les Jeux rustiques et divins, 1897, 2e éd.djvu/212

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LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS

Et nu, debout encor à l’avant de la proue
Impétueuse qui dans l’écume s’ébroue ;
Et j’entrerai brûlé de soleil et de joie,
Carène qui se cabre et vergue qui s’éploie,
Avec les grands oiseaux d’or pâle et d’argent clair,
J’entrerai par la Porte ouverte sur la Mer !