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Page:Régnier - Les Jeux rustiques et divins, 1897, 2e éd.djvu/36

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LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS

S’en viennent en dansant peut-être en nos pensées,
Car la vendange est belle aux corbeilles tressées
Et tu pleures pourtant l’Été qui t’abandonne,
Ô triste, ô Ariane éternelle, ô Automne !