Page:Régnier - Les Rencontres de monsieur Bréot, 1904.djvu/129

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les prières des confréries ! et il est homme à en arriver où nous autres aurons tant de peines à parvenir et où nous ne parviendrons pas, moi, sans la miséricorde de Dieu, et vous sans une faveur particulière de sa grâce, que rien, monsieur, ne vous garantit ; tandis qu’un monsieur Herbou aura si bien pris ses mesures que tout se passera pour lui de la façon la plus agréable et la mieux prévue.

Et madame de Preignelay, véritablement en colère, laissa partir M. de Bréot, bien décidé à ne pas manquer à l’invitation que lui avait faite, de le venir voir le lendemain, M. Herbou, le partisan.