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Page:Régnier Double maîtresse 1900.djvu/123

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LA DOUBLE MAÎTRESSE

trémoussaient et, dans la nuit toute claire de flambeaux, on entendait sur le sol le bruit des sabots et des gros souliers se mêler dans l’air au grondement du bourdon et au nasillement de la niargue. Et M. Le Melier ne cessa pas jusqu’au matin de faire se démener tout ce monde au son de sa bonne vielle de Gannat.