Page:Rabier - Crétinot, 1922.djvu/44

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Crétinot qui a toujours de grandes idées en tête, résolut un jour de donner à ses jeunes voisins une grande course de taureaux.

Il amène Brunette, peu défiante, au milieu d’une petite cour, ferme les portes et les accès de la cour, et, devant un auditoire bénévole, installé sur la crête des murs, il commence la course en enfonçant dans le cou de l’animal des banderilles représentées par des fléchettes.