Page:Rabier - Tintin-Lutin, 1898.djvu/10

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Son papa le punissait tous les jours.


Il ne pensait qu’à jouer de bons tours.
Son papa le punissait tous les jours,
Mais cela ne servait jamais à rien,
Tintin recommençait le lendemain.


Maintenant que vous connaissez Martin,
Soyez bien gentil, donnez-moi la main
Et je vais vous conduire à la campagne
Où chaque année, en un coin de Champagne,
Tous les Simon vont passer les beaux jours
Chez un fermier, le père Kilabour.



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