Enfin ils s’en vont.
Massouard pour éviter le rendez-vous du buste.
Andrel pour fuir le rendez-vous de bicyclette qu’il a d’abord désiré. (Il redoute une scène de jalousie… pas de moi.)
Et Hector part le dernier en lui baisant la main, très gracieusement.
Seuls :
— Tu m’en veux, Loulou ?
— Je suis littéralement exaspéré, si tu tiens à le savoir. Ton mari a peut-être eu l’idée d’aller te chercher chez les Devierne, et le vois-tu ne t’y trouvant pas ? Tu es folle ou tu as envie de nous forcer à nous couper la gorge, dis ?
— Il y aurait de quoi, je t’assure ! Vous êtes aussi bêtes l’un que l’autre (elle tapote sa jupe).
J’éclate :
— Mais pourquoi viens-tu ?
— Tu n’es pas poli, mon cher… je viens (elle cherche), je viens pour te faire plaisir. (Elle m’embrasse :) J’ai deux pauvres heures, je te les apporte et tu grondes ?
Elle saute à mon cou. Elle se frotte à moi