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LE BAL DU COMTE D’ORGEL

nique, l’ensemble me plaît beaucoup.

François de Séryeuse regarda Paul avec stupeur. Il ne se douta point, cependant, que le diplomate croyait applaudir une fable. « Quel singulier tour d’esprit que le sien ! pensa-t-il. Robin juge la vie comme un roman ».

Il ne croyait pas tomber si juste.

François était allé voir un ami pour lui confier un peu de sa joie. Il eut une impression de grande solitude. En effet il était seul, seul avec son amour, que tout le monde croyait couronné.

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