temps, c’est toujours ces bruits ; il y a les chars à rentrer, il y a la faux à enchappler, il y a les portes aux gonds un peu rouillés, les portes des granges à fermer ; il y a les verrous à tirer, singulièrement plus rouillés, ces verrous chocolat, on les entend crier ; c’est les portes, les voix, la faux, c’est le timbre d’une bicyclette, la trompe d’une automobile ; c’est aussi les cochons à qui on apporte à manger ; l’horloge vaguement là dedans, ses neuf coups, puis qui les reprend…
— Pas question pour le moment.
Dans la grange, c’est Jules, à présent. Et Jules, de nouveau, qui dit :
— Ils sont en retard d’une heure, aujourd’hui.
Dans la grange, on n’y voit plus ; Adèle s’est arrangée comme elle a pu.
L’ennuyeux, c’est qu’on se décoiffe terriblement.