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Page:Regnaud - Le Chariot de terre cuite, v1.djvu/49

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PROLOGUE.


NOTES SUR LE PROLOGUE




(1) Commentaire, çûnyekshane nirâkârâlocane ghatito’tyanta sambaddho yo layah tat pravanatâviçeshah. — Le commentaire débute par l’énumération des dialectes prâkrits et l’indication de celui qu’emploie chacun des personnages du drame ; ce passage est tout à fait identique à celui d’un autre comm. dont se servait Stenzler, qu’il cite in extenso et traduit dans la préface de son édition de la Mrcchakatikâ.

(2) Comm. paryankah paryastikâ tasya bandhanena dvigunito yo bhujagah tasya sambandhena sthagitam jânu yasya.

(3) Toute cette description de la posture de Çiva repose sur des idées empruntées à la théologie védântique et qu’il serait trop long de développer ici. C’est en me rapportant à ces idées que j’ai pris laya dans un sens moins spécial que celui qu’indique le comm. dans le passage cité note I. Comparez Colebrooke, Essays, au chapitre sur le védântisme et mon Étude sur les poètes sanscrits.

(4) Celui dont la gorge est noire, épithète de Çiva par allusion à un épisode mythologique rapporté en note par Wilson dans sa traduction.

(5) Nom de l’épouse de Çiva ; elle était fille de l’Himalaya.