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Page:Revue de Paris, tome 25, 1831.djvu/264

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REVUE POLITIQUE.


Pages.

Paris. — Question de l’époque. — Elle n’est pas ce qu’elle paraît. — Il s’agit de choisir entre les honnêtes gens et les brouillons, entre les fous et les hommes de bon sens. — Pierre de touche pour les discerner à Paris et dans les departemens. — Conclusion. 63

—— Débat sur les associations dites nationales. — Ce que le ministère et le pays y ont gagné. — Progrès des idées gouvernementales. — La révolution de juillet commence à enfanter son gouvernement 117

—— Aurons-nous la guerre ? — Nous viendra-t-elle de Pologne ? — D’Italie ? — De Belgique ?— L’Europe n’en veut pas. — Comment la France doit négocier 190

—— Progrès du gouvernement. — Que voulait la France en juillet ? — Contradictions du parti républicain. — M. de Lafayette et M. Cavaignac. — Folie des rêves et danger des passions de ce parti. — La monarchie constitutionnelle convient seule à la France. — Nous l’avons 249

De l’esprit d’opposition. — Quel est le vrai principe de l’extrême gauche ? — Est-elle par ce principe même impropre au gouvernement ? — A chacun sa position 67

Du midi de l’Italie 126

Chronique 72 132 198 et 259


fin de la table du tome vingt-cinquième



ÉVERAT, IMPRIMEUR DE LA REVUE DE PARIS.