Page:Revue des religions, Vol 1, 1892.djvu/449

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le côté ……………… elle, en portant, un corps glorieux (?) …… elle, en portant de pierre rouge …… un mur de pierre, 40 ils se sont assis (?)……… pays ennemi, [……]………… son seigneur. Où est l'époux ……… pour toujours. Où est ton allal ? ……… il est monté. Allons ! …………… tes caprices. 45 [……]…………… à ton côté. A Tammuz, l’amant de ta jeunesse, tu as destiné une lamentation annuelle. Tu as aimé un allal, au plumage diapré ; or, tu l’as frappé, tu lui as brisé les ailes, 50 et maintenant, il se tient dans les bois, criant : kappi ! (mes ailes !). Tu as aimé un lion, d’une rare vigueur ; or, sept et sept fois (?), tu l'as déchiré de coups. Tu as aimé un cheval, fier au combat ; or, tu lui as imposé le frein, des guides (?) et l’éperon ( ?) ; 55 tu lui as fait fournir une course de quatorze heures, jusqu’à lui donner le tremblement et la soif de la fièvre ; à sa mère, la déesse Silili, tu as réservé les pleurs. Tu as aimé un maître berger, qui, continuellement, faisait fumer de l’encens [1], 60 et, chaque jour, égorgeait des victimes en ton honneur ; or, tu l’as frappé, tu l'as changé en léopard (?), à présent, ses propres gardiens (?) s’acharnent sur lui, et ses chiens le mordent, jusqu’à le meurtrir.

  1. Mot à mot : « répandait la fumée de l'encens. »