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Page:Sand - Francia.djvu/278

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VALROGER.

Au contraire. Je la boirai.

LOUISE.

Et alors ?

VALROGER.

Alors vous aurez pitié de moi, vous me recevrez.

LOUISE.

Et puis après ?

VALROGER.

Je reviendrai.

LOUISE.

Je me laisserai compromettre ?

VALROGER.

Non ! vous fuirez, mais je vous suivrai partout. Partout vous me trouverez pour ouvrir la voiture et vous offrir la main.

LOUISE.

C’est bien connu, tout ça.

VALROGER.

Tout est connu. Je n’ai rien découvert de neuf, il n’y a rien de mieux que les choses qui réussissent toujours.