Page:Sand - Francia.djvu/291

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VALROGER.

C’est-à-dire que c’est moi la forteresse, et que je me suis rendu à discrétion ! (Bas, pendant que Louise va en riant auprès d’Anna.) Dites-moi, Louville, est-ce qu’il n’y a pas moyen d’épouser cette femme-là ?

M. DE LOUVILLE.

Allons donc ! Elle a peut-être quarante ans !

VALROGER.

En eût-elle cinquante !

M. DE LOUVILLE.

Ah bah ! mais elle a aimé son mari, elle adore son fils… Non, c’est impossible !

VALROGER.

C’est dommage ; c’eût été pour moi le seul moyen de devenir un homme sérieux !


FIN