Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/206

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et le dégoût de ma profession m’empêcheront de m’y plaire ; et quand j’aurai enrichi ma mère, je sortirai pure de la plus odieuse des épreuves… Ah dame ! voyez-vous, j’ai bien réfléchi. J’ai bien vieilli en deux heures.

« — Ô vertu romanesque et sublime ! est-ce ici je devais m’attendre à te rencontrer ! s’écria Cazalès. Eh bien ! vous avez raison, mon enfant ; vous ne serez pas ma maîtresse : d’ailleurs, je ne vous mérite pas. Permettez-moi d’être votre ami ? Laissez-moi vous tirer de l’affreuse situation où vous êtes, de vous soustraire aux dangers qui vous entourent, aux infâmes pro-