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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/70

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tres dont la seule pensée vous fait frissonner.

« — Mon pauvre Horace ! dit tristement Laorens, en lui pressant la main. »

Celui-ci était animé, son œil lançait des flammes ; il était beau comme l’ange déchu de Milton… Il éclata de rire en voyant la figure douce et caressante de son ami. Le bruit des roues sur le pavé interrompit leur entretien. Ils entraient dans la ville de Tarbes, dont les murailles blanches prenaient une teinte rose au reflet du couchant.