Page:Yver - La Bergerie.djvu/234

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une longue réflexion, partez, allez la voir ; vous me reviendrez. C’est pécher d’enterrer un cerveau comme le vôtre dans un village. Tâchez de concilier votre amour et votre avenir. Amenez à Paris votre fiancée, mariez-vous ici. En attendant, je vous accorde un congé de deux mois, pas plus, mon cher, c’est bien entendu, n’est-ce pas ? Je vous attends en octobre. »