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Page:Yver - Le Mystere des beatitudes.djvu/206

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VIII

— Dites donc, mon cher Mazard, vous êtes un peu à l’étroit, là dedans.

Muzard qui, sa journée finie, arrêtait ses registres, leva la tête en reconnaissant la voix de Cyprien Loche. La figure rasée du banquier s’encadrait dans le guichet vitré de la caisse.

— Ma cage est assez grande pour moi, je vous remercie, monsieur Loche.

— N’empêche que ce soir, mon ami, je vous enlève. Il est à peine six heures, nous avons le temps d’aller enfin jeter un coup d’œil à Grenelle sur mon usine. J’ai bien le droit de vouloir vous étonner un peu, jeune homme. Et je me flatte d’y réussir en vous montrant ce que je vais vous montrer.

Depuis le mariage de Jean Solème, Augustin