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Page:Yver - Le Mystere des beatitudes.djvu/397

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DERNIÈREE PARTIE

XV

— Une belle journée de printemps, n’est-ce pas, monsieur Muzard ? dit Constant, le garçon du Café de la Paix en apportant à son client le bock obligatoire. On se croirait plutôt en mai qu’en mars.

— Plutôt en mai qu’en mars, oui, répéta bénévolement Muzard distrait.

Il sentait lui aussi cette influence printanière qui alanguissait tout le monde et peuplait les terrasses du boulevard de buveurs et de fumeurs béats. Il laissait présentement son esprit flotter en des divagations qu’il jugeait aussi sottes qu’agréables. Il opérait un rapprochement entre Marie Plichet et Constant ; il unissait leurs deux sollicitudes ; il en