Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/245

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Marthe ne répondit rien. La bonne femme continua :

— Monsieur Alibert, ne me prenez pas pour une ingrate. Votre belle maison, je ne la dédaignerais pas, bien sûr, si j’étais seule. Mais il y a monsieur Martin d’Oyse qui serait bien contrarié si je quittais celle-ci. Je n’invente rien. C’est lui qui me l’a défendu.