Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/286

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M. Xavier demanda :

— Faut-il nous mettre au balcon ?

— Je le crois, dit Élie, sans quoi nous aurions l’air de bouder contre la fête servie à nos associés.

Quand la foule vit ces messieurs au balcon et, derrière eux, le peignoir blanc de madame, elle acclama ses anciens maîtres. Madame Martin d’Oyse dit :

— Pauvres gens !

Élie remarqua :

— Oh ! dans l’état d’esprit où ils sont, on pourrait mettre à la fenêtre le petit fox de Cécile, ils crieraient aussitôt « Vive Bobby ! »

M. Xavier fit un signe au jardinier, qui monta prendre ses ordres. C’était qu’on permît aux ouvriers de se promener dans le parc tout le matin. Le jardinier se rembrunit, mais fit la commission. Alors la foule se répandit timidement dans les allées. Sam et Freddy descendirent du perron et se mêlèrent aux ouvriers. M. Martin d’Oyse dit à son fils :

— Nous ne sommes plus rien ici.