Page:Yver - Monsieur Dominique.djvu/184

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VII.

À son retour à Paris, Mme Béatrix, toute peinée et bien découragée, avait quitté la grande maison qu’elle occupait, pour louer un tout petit appartement haut placé, dans une maison grise d’une étroite rue de la capitale. Là, elle avait installé le mieux qu’elle avait pu sa nombreuse famille. Elle avait trouvé tout près de là une école où l’on enseignait bien ; elle y avait envoyé ceux de ses enfants qui étaient en âge de s’instruire ; quant à elle, elle avait remué ciel et terre pour trouver