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Page:Yver Grand mere.djvu/171

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Le visage de la vieille femme s’illumina comme peut s’éclairer, comme peut resplendir d’un sourire celui de la plus heureuse femme de la terre ; un sourire de l’âme tout entière, sans ombre, sans réticence.

— Grand’Mère, j’étais bien mal partie, il y a quelques semaines. Vous m’avez sauvée !

— Je te le devais bien, mon enfant !

Et toutes deux s’étreignirent sans prononcer un mot de plus.

FIN