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Livre:Etienne-Gabriel Morelly - Code De La Nature.djvu

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Titre	Code de la Nature
Sous-titre	Réimpression complète, augmentée des fragments importants de la Basiliade, avec l’Analyse raisonnée du Système social de Morelly, par Villegardelle
Auteur	Etienne-Gabriel Morelly
Éditeur	François Villegardelle
Maison d’édition	Paul Masgana
Lieu d’édition	Paris
Année d’édition	1841
Bibliothèque	Google
Fac-similés	djvu
Avancement	À valider

Pages

T — 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 — 37 — 39 — 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 — 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 — 179 — 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 — 209 210 211 212 213 — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — —

TABLE DES MATIÈRES.

ANALYSE RAISONNÉE

DU SYSTÈME SOCIAL DE MORELLY.

I. Notice sur Morelly

5

II. Idées de Morelly sur la nature des passions et la cause de leur dépravation.

8

III. Résumé succinct du système

13

IV. La cité morellyste, ou communautés volontaires de mille à deux mille personnes

16

CODE DE LA NATURE.

PREMIÈRE PARTIE.

Défauts des principes généraux de la politique et de la morale.

Sujet de cette dissertation

43

Réflexions sur la conduite et le but de la Basiliade

44

Erreurs invétérées de la morale vulgaire ; difficultés d’en percer les ténèbres et la multitude

46

Principes des erreurs des moralistes anciens et modernes ; ce qu’ils auraient dû faire pour les reconnaître et les éviter

48

Causes de la corruption de l’amour-propre

50

État de l’homme au sortir des mains de la nature, et ce qu’elle a fait pour le rendre sociable

52

Exposition détaillée des vrais fondements de sociabilité

54

Sur quels principes la morale et la politique devaient établir leurs préceptes et leurs institutions

56

Idée de la probité naturelle ; comment on en pouvait prévenir la corruption

57

59

ib.

Quelle éducation préviendrait tout vice

60

Quelle éducation perpétue les erreurs de la morale

61

La plupart des législateurs ont rompu les liens de sociabilité, et occasionné, ou entretenu les suites fâcheuses de cette rupture

62

Pourquoi les lois de la nature sont devenues impraticables

63

DEUXIÈME PARTIE.

Défauts particuliers de la politique.

Preuves expérimentales de nos principes

65

État naturel des nations sauvages susceptibles des règles d’un très-sage gouvernement

66

Idée de la politique vulgaire, et courte réfutation de ses maximes

71

Combien les maximes de la politique vulgaire révoltent le bon sens

72

Objections contre la possibilité de notre système chez des nations qui n’auraient point encore reçu de lois

75

Réponses aux nouvelles preuves des succès qu’auraient des lois fondées sur la nature, chez des nations exemptes de nos préjugés

77

L’inclination même de l’homme pour le repos est le principe de l’activité

78

Véritable cause de la paresse

79

Digression sur les répétitions obstinées de quantité d’objections frivoles

80

Véritable origine des nations, et causes de la corruption des sentiments de sociabilité

81

Les législateurs n’ont corrigé aucun désordre

84

Pourquoi les lois devaient être faites

85

Vrai medium de toute démonstration politique ou morale, et cause première de tout désordre

86

Combien il était facile aux premiers législateurs de reconnaître les intentions de la nature, et d’y conformer leurs institutions

87

Combien des lois plus parfaites que les nôtres auraient eu de pouvoir

88

Fausseté des principes du droit civil et du droit des gens

89

L’esprit du christianisme rapprochait les hommes des lois de la nature

91

Pourquoi l’esprit du christianisme ne s’est point soutenu

92

Esprit monacal entièrement opposé aux lois de la nature

94

En quoi consistent la liberté et la dépendance

96

Faiblesse du pouvoir de nos maîtres les plus absolus

98

Vraies causes de la décadence et des révolutions des États les plus florissants

Ce que c’est que le hasard dans l’ordre moral

Ce qui assurerait la stabilité des empires

Sous quel prétexte la politique sacrifie l’intérêt de la multitude à celui d’un seul

Pouvoir et fonction des souverains dans le droit naturel, et leur véritable grandeur

TROISIÈME PARTIE.

Défauts particuliers de la morale vulgaire.

Ce que c’est que le mal ; ses différentes espèces

Il n’y a point de mal physique en présence de la Divinité

Le mal moral ne touche que la créature

Analogie entre l’ordre physique et moral

La bienfaisance est la première de toute nos idées morales

Ce qui ôterait à l’homme toute idée de mal moral

Ce que sont en présence de la Divinité les imperfections morales de la créature

Tout dans l’univers, soit physique, soit moral, se perfectionne par gradation

Justes bornes du mal moral

La cause passagère de tous maux en est le remède

Véritables causes des contrariétés de l’esprit et du cœur

Combien nos principes sont éloignés d’autoriser le vice ou le crime

Principal motif de toute action humaine, et principe de toute harmonie sociale

Véritable succession et progrès des idées morales ; hypothèses qui les prouvent

La bienfaisance est le premier principe de l’idée d’une Divinité

Première hypothèse, où l’on explique comment l’idée de la Divinité se forme, se développe et se perfectionne

.ib

La réflexion seule sur les sentiments naturels fait éclore l’idée d’une Divinité

Le spectacle de l’univers ne fait qu’étendre l’idée de la Divinité

ib.

Par quels degrés l’idée d’une Divinité se perfectionne

Seconde hypothèse, dans laquelle l’idée d’une Divinité acquiert de nouveaux degrés de perfection

Dans quels système l’idée de la Divinité pouvait se perfectionner de plus en plus, ou se corrompre

Comment la corruption des actions humaines s’est étendue sur l’idée de la Divinité ; ce qu’il fallait faire pour l’arrêter

Causes remarquables de la corruption des actions humaines que des philosophes ont négligé d’observer

I. Les nations les plus méchantes sont les plus superstitieuses

ib.

II. Chez quelles nations les pratiques superstitieuses corrompent les actions morales

III. Caractère des nations les plus humaines

IV. Quels sont ordinairement les plus méchants de tous les hommes

Ce qu’il fallait conclure des observations précédentes

De quelle sorte de crainte ou d’espérance la bienfaisance ne doit pas dépendre

ib.

Par où la morale devait commencer ses instructions

Conclusion de cette dissertation

QUATRIÈME PARTIE.

Modèle de législation conforme aux intentions de la nature.

Lois fondamentales et sacrées qui couperaient racine à tous les maux d’une société

Lois distributives ou économiques

ib.

Lois somptuaires

Lois de la forme du gouvernement qui préviendraient toutes domination tyrannique

Lois de l’administration du gouvernement

Lois conjugales qui préviendraient toute débauche

Lois d’éducation qui préviendraient les suites de l’aveugle indulgence des pères pour leurs enfants

Lois des études qui préviendraient les égarements de l’esprit

Lois pénales aussi peu nombreuses que les prévarications, et aussi douces qu’efficaces

FRAGMENTS IMPORTANTS DE LA BASILIADE

Caractère de l’utopie, la Basiliade : extrait de la préface

Désastreux résultats du partage égal du fonds communs - Apologue

Premiers effets de l’opposition de sentiments que la propriété individuelle fit éclater

Origine des vertus que la considération d’un vil intérêt fait pratiquer

Corruption des pouvoirs politiques

Distinctions bizarres entre les différentes professions

Causes des guerres, infamie des conquérants

Dépravation des passions, et en particulier de l’amour

Idées que l’homme peut raisonnablement avoir sur la Divinité
Corruption du culte et du sentiment religieux

Derniers conseils données aux hommes

FIN DE LA TABLE

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