Page:Éluard - Une leçon de morale, 1949.djvu/103

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Je sais tes seins je sais ton cœur
Tes yeux qui s’ouvrent en mes yeux
Malgré mon vieux rêve d’aveugle
T’aimer chante assez haut la nuit
Pour allumer un autre monde
Que celui de ma propre vie
T’aimer me rend à tous les hommes.