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Page:Abadie - L’Angelus des sentes, 1901.djvu/59

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Le chant des Porteuses d’eau


À Armand Silvestre


Sur les chênes le soir s’assied
Couronné de roses lointaines,
Et près de l’antique fontaine,
Les vierges étoilent leurs pieds
De cyclamens et de verveines.