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Page:Adelswärd-Fersen - Le baiser de Narcisse, 1912.djvu/98

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LE BAISER DE NARCISSE


celui qui semblait son reflet : En vain. Seule, à genoux dans le sable, la gorge sèche, l’écume aux lèvres, sordide, farouche et outragée, Briséis demeurait là, hurlant des paroles sans suite…