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Page:Alberti- De la statue et de la peinture, 1868.djvu/196

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EPILOGUE.

lettrine C
els sont, ami lecteur, ces petits traités d’Alberti. Je me suis fait scrupule de m’écarter du texte, et je l’ai suivi mot à mot. Encore que mon français soit trop latin, tu me sauras gré, sans doute, d’avoir rendu mon auteur dans toute sa naïveté, sa simplicité, son absence voulue d’artifices. En faisant bon marché des ornements du langage, je suis demeuré dans l’esprit de notre Battista, qui n’apporte en ces deux opuscules aucune prétention à l’éloquence :
« Quod sine ulla eloquentia brevissimè recitata sunt. » Et pour para-