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Page:Alberti- De la statue et de la peinture, 1868.djvu/197

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ÉPILOGUE

phraser ses excellentes paroles, moi aussi je serai heureux, si les zélateurs des bons arts trouvent dans mon travail quelque plaisir et du profit ; mais ne pouvant, comme Alberti, réclamer pour prix de ma peine qu’ils traduisent mon image dans leurs œuvres, je leur demanderai toutefois qu’ils gardent mon nom dans leur souvenir.