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Page:Andersen - Contes pour les enfants, trad. Caralp, 1848.djvu/77

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L'ANGE.

les grands ; le bon petit enfant innocent qui naguère rampait à l’aide de ses ennuyeuses béquilles, tout comme la pauvre petite fleur fanée des champs qui avait été jetée parmi les balayures, et qui le jour du déménagement gisait parmi toutes sortes d’informes débris au coin d’une rue sale et obscure.