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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/32

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Cesse de penser à toi-même — de craindre la pauvreté, de poursuivre la richesse. — Bois du vin, une vie si lourde de tristesse — mieux vaut la passer dans le songe ou dans l’ivresse.


24.
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Depuis que j’ai discerné mes pieds de mes mains, — le cycle affreux des jours a enchaîné mes mains. — Quel regret de voir portés à mon compte — des jours passés sans maîtresse et sans vin !


25.