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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/33

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Jusqu’à quand prendrai-je souci de ma fortune ? — Jusqu’à quand prendrai-je souci du bonheur et du malheur ? — Remplis la coupe, car je ne sais même pas — si cette bouffée d’air que j’aspire, je l’exhalerai vivant.


26.
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La lune a déchiré la robe de la nuit. — Bois du vin ; il n’est pas d’heure plus opportune. — Sois joyeux, sans soucis, car longtemps cette lune — brillera sur la tombe de chacun de nous.

27.